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Le Rotary-club et COLRUYT s'associent pour venir en aide aux restos du coeur.
Le jeudi 23 février, le Président et les membres du Rotary-club de Saint-Pourçain et la direction du magasin Colruyt, madame Marina Girard représentée par son adjoint monsieur Axel Gardel, ont remis aux représentants des restos du coeur de St-Pourçain une palette de packs de lait afin que ces derniers puissent faire face aux besoins des usagers durant un mois.
La société COLRUYT a offert une semaine de consommation de lait; les trois autres semaines ont été prises en charge par le Rotary-club aux conditions préférentielles consenties par l'enseigne, soit au total un mois de consommation .
C'est donc avec une grande satisfaction que Madame Fugier, Monsieur Daniel Vaillant et les responsables des restos du coeur qui l'accompagnaient, ont reçu la palette de packs de lait, dans les moments difficiles que nous connaissons actuellement, cette action est particulièrement la bienvenue.
Les responsables de Colruyt se déclaraient heureux de pouvoir participer à ce don en solidarité avec ceux qui sont dans le besoin.
De son côté, le président du rotary-club, Jean-Guy Siret, remerciait chaleureusement l'enseigne Colruyt pour sa généreuse participation et soulignait l'implication permanente du club dans le soutien aux plus démunis.
Le jeudi 23 février, le Président et les membres du Rotary-club de Saint-Pourçain et la direction du magasin Colruyt, madame Marina Girard représentée par son adjoint monsieur Axel Gardel, ont remis aux représentants des restos du coeur de St-Pourçain une palette de packs de lait afin que ces derniers puissent faire face aux besoins des usagers durant un mois.
La société COLRUYT a offert une semaine de consommation de lait; les trois autres semaines ont été prises en charge par le Rotary-club aux conditions préférentielles consenties par l'enseigne, soit au total un mois de consommation .
C'est donc avec une grande satisfaction que Madame Fugier, Monsieur Daniel Vaillant et les responsables des restos du coeur qui l'accompagnaient, ont reçu la palette de packs de lait, dans les moments difficiles que nous connaissons actuellement, cette action est particulièrement la bienvenue.
Les responsables de Colruyt se déclaraient heureux de pouvoir participer à ce don en solidarité avec ceux qui sont dans le besoin.
De son côté, le président du rotary-club, Jean-Guy Siret, remerciait chaleureusement l'enseigne Colruyt pour sa généreuse participation et soulignait l'implication permanente du club dans le soutien aux plus démunis.
Martin et Romaric proposent de découvrir leur voyage en cliquant sur le lien :
https://photos.app.goo.gl/Q5MvyMY5Bido7rGM8
ou
de revenir sur la présentation du 4L TROPHY
Le 23 mars, le club a reçu Jean-Yves VIF, journaliste, ancien rédacteur en chef du journal « La Montagne » dont il est membre du conseil d'administration, venu nous parler de la presse en général et du quotidien « La Montagne » plus particulièrement.
Son intervention débutait par un survol de l'histoire de la presse française depuis « La Gazette » de Théophraste Renaudot au 17° siècle, en passant par les 19° et 20° siècles, pour en arriver à l'époque actuelle. Au fil du temps, la presse a pris une importance croissante et a joué un rôle d'influenseur sur l'opinion publique : comme par exemple, l'article « J'accuse » de Zola au moment de l'affaire Dreyffus.
Pendant une longue période, le presse était une presse d'opinion qui soutenait les points de vue des partis politiques auxquels elle se référait. La plupart de ces journaux ont disparu au profit d'une presse plus généraliste, dont le but premier est d 'informer.
Loin de l'âge d'or que la presse a connu à une certaine époque, notre temps présent voit survivre deux grands journaux : « le Monde » de sensibilité de gauche et « Le Figaro » de sensibilité droitière. Ils côtoient la presse hebdomadaire apparue relativement récemment : « L'express, le Nouvel observateur, etc
L'histoire du journal « La Montagne » ( le titre se veut l'héritier des montagnards révolutionnaires) est étroitement liée à son fondateur, Alexandre Varennes. Jean-Yves VIF parlera longtemps de cet homme à la personnalité riche qui marqua profondément le quotidien régional : il fut, entre autres, journaliste, gouverneur de l'Indochine, député, ministre...Il sut faire du journal un acteur incontournable de la vie régionale et légua à ses successeurs un outil viable qui sut traverser le temps.
A ses débuts « La Montagne » était un journal engagé d'inspiration socialiste. Il deviendra peu à peu un journal d'information généraliste. Sa particularité est d'avoir été le seul quotidien français à reparaitre en 1945 sous son titre originel. En effet, plutôt que d'en faire un organe au service de la collaboration durant la seconde guerre mondiale, Alexandre Varennes préféra le saborder en 1943.
Depuis une période récente, « La Montagne » a absorbé plusieurs quotidiens régionaux de la région centre afin de former le groupe de presse « Centre France ». Ce groupe figure parmi les plus importants de France au niveau de la presse régionale.
Sur un plan général, une question se pose en ce qui conccerne la presse : quel est son avenir, tant le contexte social, culturel, économique, a évolué ? D'autant que la prese écrite doit cohabiter avec la radio, la télévision, internet et ses réseaux sociaux ? Doit-elle aller vers le tout numérique ? Mais alors se pose le problème de ses ressources. Car de ses ressources dépend son indépendance. Nous n'avons pas de réponse claire à la question posée. En attendant, elle doit s'adapter, être performante et garder la confiance de ses lecteurs.
Quand on parle de la presse, on ne peut ignorer les journalistes : pour Jean-Yves VIF, il est crucial de former de bons journalistes, respectueux de la déontologie du métier, capables par leurs talents de bien informer, de défendre la liberté de la presse, la liberté d'informer, la liberté tout court....
Son intervention débutait par un survol de l'histoire de la presse française depuis « La Gazette » de Théophraste Renaudot au 17° siècle, en passant par les 19° et 20° siècles, pour en arriver à l'époque actuelle. Au fil du temps, la presse a pris une importance croissante et a joué un rôle d'influenseur sur l'opinion publique : comme par exemple, l'article « J'accuse » de Zola au moment de l'affaire Dreyffus.
Pendant une longue période, le presse était une presse d'opinion qui soutenait les points de vue des partis politiques auxquels elle se référait. La plupart de ces journaux ont disparu au profit d'une presse plus généraliste, dont le but premier est d 'informer.
Loin de l'âge d'or que la presse a connu à une certaine époque, notre temps présent voit survivre deux grands journaux : « le Monde » de sensibilité de gauche et « Le Figaro » de sensibilité droitière. Ils côtoient la presse hebdomadaire apparue relativement récemment : « L'express, le Nouvel observateur, etc
L'histoire du journal « La Montagne » ( le titre se veut l'héritier des montagnards révolutionnaires) est étroitement liée à son fondateur, Alexandre Varennes. Jean-Yves VIF parlera longtemps de cet homme à la personnalité riche qui marqua profondément le quotidien régional : il fut, entre autres, journaliste, gouverneur de l'Indochine, député, ministre...Il sut faire du journal un acteur incontournable de la vie régionale et légua à ses successeurs un outil viable qui sut traverser le temps.
A ses débuts « La Montagne » était un journal engagé d'inspiration socialiste. Il deviendra peu à peu un journal d'information généraliste. Sa particularité est d'avoir été le seul quotidien français à reparaitre en 1945 sous son titre originel. En effet, plutôt que d'en faire un organe au service de la collaboration durant la seconde guerre mondiale, Alexandre Varennes préféra le saborder en 1943.
Depuis une période récente, « La Montagne » a absorbé plusieurs quotidiens régionaux de la région centre afin de former le groupe de presse « Centre France ». Ce groupe figure parmi les plus importants de France au niveau de la presse régionale.
Sur un plan général, une question se pose en ce qui conccerne la presse : quel est son avenir, tant le contexte social, culturel, économique, a évolué ? D'autant que la prese écrite doit cohabiter avec la radio, la télévision, internet et ses réseaux sociaux ? Doit-elle aller vers le tout numérique ? Mais alors se pose le problème de ses ressources. Car de ses ressources dépend son indépendance. Nous n'avons pas de réponse claire à la question posée. En attendant, elle doit s'adapter, être performante et garder la confiance de ses lecteurs.
Quand on parle de la presse, on ne peut ignorer les journalistes : pour Jean-Yves VIF, il est crucial de former de bons journalistes, respectueux de la déontologie du métier, capables par leurs talents de bien informer, de défendre la liberté de la presse, la liberté d'informer, la liberté tout court....
Conférence Jean-Yves VIF ( synthèse)
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